Jean Claude Hiquet | D'ici à demain
Jean Claude Hiquet | D'ici à demain

Nom : Jean Claude Hiquet
Domicile : Tarnos

 

Aujourd’hui

- PS 40. Ex Membre du bureau fédéral et du conseil fédéral. Jusqu'en 2017

Retraite politique par rapport à la Mairie de Tarnos depuis les élections municipales de 2014.

- Adhérent au PS à la section de Tarnos.

- Membre de Désirs d’avenir.

- Membre Universités du temps libre Bayonne et Anglet.

 

Itinéraires Tarnos

- Candidat non élu sur la liste conduite par Daniel Poueymidou à Tarnos en 1983

- Maire adjoint à Tarnos:

+ 1995-2001. Education. Mise en route du Contrat éducatif local et participation aux choix politiques déterminants pourl’avenir: La placette du Metro, Rénovations des services, Implantation de ADA, Déviation de la RD 85 et choix d’axes structurants pour le port, Espace Bertin comme espace économique coopératif, Politiques d’acquisitions foncières en particulier concernant la communauté de communes tournée vers le Seignanx.

+ 2001-2008. Education. 2 Ecoles nouvelles Poueymidou et Lasplacettes. Réflexion sur l’aménagement des temps de l’enfant, Etude « Mandouze »sur la jeunesse, Le projet éducatif territorial et mise en place de l’accompagnement à la scolarité.

+2008-2014. Développement économique. Projet Beltrame. Réglements publicitaires dans la ville. Développement de l’espace Bertin avec la finalisation du projet de pôle de coopération. Participation au conseil portuaire ainsi qu’au comité stratégique  avec l’adoption du schéma de développement portuaire.

 

Itinéraires avant

- Militant de l’UNEF actif en 1968.
- Militant du PSU, d’abord à Dax en 1971 ( Actions en faveur de l’entreprise DARBO de Linxe) puis ensuite responsable de la fédération du Calvados

- Après un bref passage à Toulouse. Enseignant au Lycee Laplace de Caen.

- Adhérent au PS depuis les « Assises du socialisme » en 1974. Pour le congrès de Reims mandataire pour le 40, de la motion E.

- Enseignant à Bayonne de 1980 à 2005. Adhérent à la section PS de Bayonne puis à celle de Tarnos
Depuis 1982. Syndicaliste à la CFDT.

Pourquoi ce site
La photo qui accompagne ce texte, est celle du Lac de Gaube à Cauterets. Lieu qui m'est cher.
Ce site donc, est simplement, un inventaire politique personnel, pour des idées, pour ce « changer la vie » des années 70 qui reste d’une impérieuse actualité.

En réalité ce site est la suite de celui qui avait été préparé avec Jean Jacques (Voir plus bas) pour la partie technique, en 2006. C'était au moment de la campagne de SRoyal.

Par la suite, en 2010, à un moment ou minoritaire à la section PS de Tarnos, et au conseil municipal, je craignais pour mes possibilités d'expression. Il me fallait un outil. Ici donc, j'ai trouvé la fenêtre me permettant de dire, de contredire, d'affirmer un ensemble d'idées auxquelles je tiens.
Aujourd'hui, les questions d'expression si elles sont permanentes au PS (Voir  page PS Gauche) ne sont plus un problème pour moi à Tarnos. Je soutiens la majorité municipale dans laquelle j'étais, et qui vient d'être reconduite en 2020. 
JCH. Texte actualisé le 14-06-2020

Un mot perso

Ce site donc pour un inventaire politique personnel, pour des idées, pour ce « changer la vie » des années 70 qui reste d’une impérieuse actualité.
 

Tout sera abordé sans autre règle que le respect de la vie privée, la mienne et celle de tous.

Les idées politiques viendront évidemment au premier plan. Les mots, je l’espère seront débarrassés des préjugés, des scléroses qui ne manquent pas d’apparaître quand ils se réduisent à porter une mission, un soutien à une personne ou quand ils restent enfermés dans un parti qui ne fonctionne pas portes et fenêtres ouvertes.

Au dessus des partis il y a ce qui est dû aux faits, à la vérité, et au respect de tous. Quand un parti ne s’incline pas devant les faits il n’est plus tout à fait opérationnel et commence son déclin.

Au dessus des personnes il y a les chemins qu’elles tracent. Je continue de soutenir Ségolène Royal pour cet ensemble d’orientations qu’elle a proposé depuis longtemps et qui sont incontournables pour la gauche. Si la gauche veut gagner et durer elle devra reprendre ce sillon là.
C’est surement une conception de la politique et de la gauche qui sera défendue, avec une critique sans concession de tout ce qui se prétendrait avant-garde ou cause auto proclamée à défendre coute que coute. 
Les clans, cours et courtisaneries sont à proscrire et la fin ne doit jamais justifier les moyens.
Ce que je défends c’est le contraire d’une gauche qui a trop souvent donné la priorité à l’organisation et à la discipline par rapport à la réflexion et à l’ouverture. Je défends le contraire du « centralisme démocratique » qui a précipité le déclin du PC et qui, en y ajoutant les courant-chapelles, assurera la fuite des militants du PS.

La gauche pour moi a un sens: émancipation, fraternité, laïcité.

 Le sens de la gauche c’est son universalité respectueuse de tous et de chacun  avec l’espoir qui ne se dément pas, car comme l’indique René Char « Le réel quelquefois désaltère l’espérance. C’est pourquoi, contre toute attente, l’espérance survit ». Extrait de « La Parole en archipel »  

Tu peux parcourir les « catégories » dans lesquelles la politique municipale aura sa place. La rubrique « Vers nos  mémoires  » sera complétée. 
Et si tu le souhaites tu peux me contacter. Bonnes lectures.

                                                                             Jean Claude Hiquet  8 février 2011

Hommage à Jean Jacques

 

Le premier site que je réalisais avait été conçu avec mon collègue et ami Jean Jacques Bouel disparu en plein été 2015. Ci dessous le texte hommage que je lui consacrais.

 

 

Tu es donc parti dans ce début de nuit, sombre et humide, du jeudi 13 aout. Tu as reçu d'Eric, le mardi suivant, l'hommage que tu mérites: un texte sobre, limpide, direct, enfin... de ces mots que tu aimes.

 

Sans toi, ce site n'aurait jamais vu le jour. Tu en es l'auteur pour les aspects techniques et leurs maintenances. Passionné d'informatique et d'amitié, tu m'avais installé le premier ordi dans les années 90, et depuis, c'est avec toi à mes côtés, avec ta disponibilité, ta bienveillance coutumière que j'ai pu, un peu, maitriser ces sujets.

Tu connaissais mon ordi mieux que ta poche, et à la maison, un chantier était ouvert en permanence, comme si pour l'amitié, le chemin était sans cesse à baliser. Un rendez vous avec toi était toujours prévu, et pas de jachère nécessaire, pas de repos pour l'échange. Et là, c'est avec ce trop plein de regrets que j'ai rendez vous, et trop plein de manques.

 

Il me manque déjà, cette façon si particulière que tu avais, de surfer la vie et de doper à l'optimisme tes interlocuteurs. Tu avais toujours le mot, l'exemple, la posture ou le raccourci qui ouvraient un devenir, un mieux, un possible dans tous les domaines.

Et on en a évoqué des possibles, sur les sujets les plus singuliers: y a t il des terres à bambous noirs ou pas, ton admiration pour mon citronnier, le geste magique du plâtrier passant son enduit au lycée, l'artificiel et l'arrogance de nos élus, les ratés des disques durs...Tu détestais l'outrance des choses et des idées, les donneurs de leçon professionnels et tous les dogmatismes.

Ta curiosité sans bornes, t'aurait fait aimer cette citation de Galilée "Je n'ai rencontré d'homme si ignorant qu'il n'eut quelque chose à m'apprendre" et je sais que tu étais sensible à ces mots affichés dans mon bureau "Rien qui m'appartienne sinon la paix du cœur et la fraicheur de l'air".

 

C'est à Lauga que je t'avais rencontré. J'y étais, en 1979, nouvellement muté et je t'y croisais, jeune maitre d'éducation. Dans ce tout début des années 1980, je souhaitais travailler sur l'image avec les élèves. Ce sujet nous a réunis, ou bien était-ce le badge "touche pas à mon pote" que je portais un temps à mon veston? Je ne sais plus.

Plus tard convoqués à un même stage de formation, nous avions "fêté" nos retrouvailles en bavardant  tellement, que l'inspecteur zélé qui animait la séance, nous a fait savoir, plus tard, que nous ne serions pas invités au stage suivant. Ceci nous a définitivement réunis.

Tu pensais que nos élèves avaient besoin de respect et de projets, au delà des apprentissages. Pour cela tu as donné de ton temps sans compter, et tu t'es trop souvent entendu dire par tous ceux qui réduisent l'éducation à un horaire ou un programme: "Tu es payé pour ça?". Tu faisais parti de ces "profs généreux" au sens de François Dubet*.

 

Le Lycée Paul Bert te doit beaucoup. Je ne pense pas uniquement au site. Il te doit pour ce que tu y as réalisé et pour ce que tu y étais: Un marqueur du faire, de repères et de possibles, une référence de sérénité.

Le lycée se doit de te rendre hommage, même si tu ne l'aurais pas souhaité et j'ai déjà suggéré que le CDI porte ton nom. Au fond l'éducation nationale serait bien inspirée de moins regarder vers sa bureaucratie et davantage vers ses fantassins animateurs et créateurs. Tu en étais, dans ta bienveillance extrême et ta capacité rare, à t'étonner des autres et de tout. Il est plus que de besoin aujourd'hui, d'artisans, jardiniers de l'éducation  comme toi.

Jean Jacques merci mille fois pour nos partages et pour cette aptitude rare que tu avais à rendre la vie plus humaine.

JCH. 26-08-2015

 

* François Dubet. Sociologue de l'Education. “Notre système ne coule pas complètement, parce qu’il y a des armées de profs généreux, ouverts, travaillant comme des brutes… Heureusement ! Mais cela ne fonctionne que grâce à la vertu de ces individus. Le système, lui-même, n’est pas vertueux." http://rue89.nouvelobs.com

Saint Jean de Marsacq

BAYONNE

Musée Basque Histoire de Bayonne

DIDAM

Mairies du Seignanx et Bassin de vie

RECLAMES

Ces mots de Voltaire sont éclairants. Il livre une définition du fanatisme
Laicité. Voltaire.BN PS.pdf
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