Jean Claude Hiquet | D'ici à demain
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Gouvernance Macron

20 juin 2021. Une abstention historique. Une démocratie, en jachère, à reconstruire
 

"La démocratie française" est un champ de ruines. Elle est en jachère. Elle ressemble à ces terres subventionnées, laissées à la nature, ou à ces friches dont on ne sait ce qu'elles deviendront. 

Ou sont passés, les conseils de quartiers, l'éducation à la citoyenneté, les jurys citoyens, les référendums d'initiatives locales, les conseils municipaux de jeunes, les comités élus de la vie Lycéenne... etc. Tout cela est resté dans le domaine des bonnes intentions ou de l'inefficacité 

La démocratie participative est restée expérimentale et limitée. 
L'éducation civique est restée parole proposée par les enseignants. Rarissimes sont les prises de décision par des votes sauf dans les associations. les méthodes éducatives mettant l'accent sur le coopératif et fonctionnant de manière élective sont restées marginales. On apprend le calcul avec des buchettes comme on devrait apprendre à décider par des votes dans les classes. 

L'éducation à la politique n'est pas au programme. A 18 ans les jeunes n'ont jamais voté et ne perçoivent pas le vote comme un devoir. Plus de 80% de jeunes de 18 à 30 ans se sont abstenus le 20 juin.

 

Aujourd’hui on se trouve devant une abstention historique, jamais connue sous la 5ème République. Certes la pandémie a joué, comme le manque de connaissance des enjeux. Mais la cause principale me semble être dans l'individualisme et le choix du non vote car jugé sans intérêt ou pas important. 
Sud ouest a publié une carte de l'abstention par cantons. On s'abstient le plus dans les territoires côtiers, urbains. On s'abstient le moins dans les territoires les plus ruraux de l'intérieur là ou M Le Pen engrange le plus de voix. Ainsi les cantons bordelais ont les plus forts taux d'abstention, tandis qu'on vote le plus en Chalosse Tursan ou à Bidache.

Quand on ne vote pas , c'est une Lapalissade, c'est que la démocratie est blessée, malade et qu'elle est à reconstruire.

 

Dans les années 1990, l'abstention était synonyme, d'un vote pour les extrêmes, donc pour le FN. 
Aujourd'hui, ça n'est pas vraiment vérifié. Le FN n'a pas fait le plein de voix prévisibles. Il n'en est que plus dangereux car il s'est banalisé. Les revirements de MLP ont été réalisés pour cela. Elle ne voulait plus d'un vote défoulement. Elle est ainsi devenue comme les autres, faisant partie du "système".  C'est attesté par M Ruffin qui a même déclaré que "Macron se lepénise et que MLP se macronise". On ne trouve pas meilleure défense d'un vote à l'extrême droite devenu respectable. Ce genre de propos va dans le sens du tous pareils si ce n'est pas tous pourris. Donc on ne se déplace pas.

 

N'oublions pas aussi, le contexte de la pandémie qui a fait apparaître le vote comme tellement dérisoire. Ceci dit  l'abstention d'aujourd'hui vient de loin. Elle est  le signe d'un désaveu grave de la démocratie, contestée par principe par tous les complotismes.  On en a trouvé le signe dans le mouvement des gilets jaunes refusant toute représentation. 

C'est comme si, le personnel politique, c'est l'élite à combattre. Un élu est par définition suspect. Se retrouve ainsi mis au devant de la scène ce vieux slogan imbécile (il y en eut) de Mai 68:  "Elections piège à cons". 

 L'abstention vient aussi d'un personnel politique qui ne s'est remis en question que trop peu souvent. 
La reconstruction de notre démocratie en jachère, telle est l'ambition que l'on devra retrouver à la prochaine présidentielle. il serait bon de s'y mettre dés aujourd'hui. En effet, il est plus que temps de commencer le chantier du vote par correspondance ou des solutions sécurisées, pour enfin que les citoyens retrouvent le chemin de leur devoir électoral

                                                                                     Jean Claude Hiquet 22 juin 2021

Passe Sanitaire et vaccination, les deux faces indispensables d'une même mobilisation 

 

 

Nous sommes en urgence sanitaire, personne ne le conteste. La vaccination généralisée est la solution. Nombreux sont ceux qui le constatent.

Mais cet objectif n'est pas atteignable à court terme pour de nombreuses raisons. En attendant on fait quoi? On laisse faire la 4ème vague? Qu'est ce qui est proposé pour le court terme? Rien que de la basse politique irresponsable. Honteux dans la période.

Le Passe Sanitaire est la seule solution pour vivre un peu, pour ne rien fermer, pour amplifier nos libertés au fur et à mesure des progrès de la vaccination.
C'est la seule voie possible et l'unité de la nation devrait se faire sur le double objectif de la vaccination et du Passe appelé à disparaître avec l'immunité collective qui augmentera.

 

Les hommes politiques s'ils avaient une once de courage et de responsabilité participeraient à la mobilisation indispensable pour ce double objectif: le court terme avec le Passe, le moyen terme avec la vaccination.

Où sont les grandes voix de la gauche? Où sont les leaders syndicaux et associatifs?. La vaccination est dans l'ADN de la gauche (voir doc plus haut)
Le pire des arguments entendus, est sans doute la perte de liberté. Hallucinant. Cette liberté dont il s'agit c'est l'ultralibéralisme c'est à dire le risque d'être contaminés.

La seule liberté au contraire ne peut être que la lutte contre le virus pour une immunité collective et enfin retrouver le "monde d'après" au plus vite.

Le seul chemin de liberté est celui de la mobilisation pour le passe sanitaire et une vaccination générale obligatoire. Il est aujourd'hui dans l'unité nationale.

                                                                                              Jean Claude Hiquet 24 juillet 2021

 Mesures pour la fin de l'hiver?

 

Pour l'essentiel nous restons sur les mesures annoncées début janvier avec le couvre feu à 18h. Il s'agit de réduire les contacts sociaux. Il convient d'y ajouter un renforcement des contrôles aux frontières, strict pour l'extérieur de l'Europe et plus souple pour l'espace européen. Ceci est évolutif. Reste bien sûr de vérifier que les actes suivent les décisions. Ce n'est pas toujours le cas selon certains témoignages.

 

Il a été enfin acté un renforcement du protocole dans les établissements scolaires. Avec pour les collèges la possibilité de présentiel en demi classe comme pour les lycées. Pour les écoles un effort est prévu pour les cantines en respectant les distances et en évitant les mélanges de classes. Ceci n'est pas suffisant et la période difficile vécue par les élèves aurait dû donner lieu à des innovations pédagogiques selon la configuration des locaux.

Pour les universités, il est prévu des ouvertures possibles en groupes restreint avec une aide pour les repas en restaurant universitaire. Cela reste insuffisant devant une détresse qui s'accentue. Là encore pourquoi ne pas mettre en chantier des innovations avec une allocation d'étude sous conditions ,dont on parle depuis des décennies.

 

De manière générale, des dépistages individuels ou collectifs seront déployés et des tests antigéniques devraient être mis à disposition au sein des écoles, lycées et campus. Il était temps.

Cependant, en ce mois de janvier, les mutations du virus rendent la fin de la pandémie encore plus lointaine. Le milieu médical préconise un 3ème confinement sans tarder. C'est l'enjeu des prochains jours.
Mais nous savons que l'anticipation  est le meilleur moyen de lutter contre le virus. Avec une vaccination qui, on peut l'espérer, accélère son rythme, la course contre la montre engagée contre les virus mutants pourrait être gagnée.

L'Europe se trouve ici dépendante de la livraison de vaccin. Pourquoi ne pas en produire en Europe? Pourra-t-on ouvrir assez tôt d'autres chaînes de production?

Les semaines à venir seront décisives, dans une situation imprévisible et tellement incertaine et anxiogène.
                                                                                                                    Jean Claude Hiquet 21 janvier 2021

Plan de relance global: Oui mais... pour tous?

 

Le plan de relance annoncé par le gouvernement était indispensable. La récession qui plombe la société, n'impliquait pas d'autres politiques. Sauver ce qui peut l'être et accompagner les transitions indispensables, dans les transports ou ailleurs dans de nombreuses TPE, évidemment qu'il convient de l'assumer. Faire de la dette pour injecter des financements dans l'économie sans finasser, mais sous conditions, est la seule réponse possible. C'est une politique keynésienne de l'offre qui est en cours.
Le volet demande par contre est nettement insuffisant. Les salaires, les bas salaires en particulier, ont pris un retard considérable. il est vrai que c'est l'affaire du patronat. Mais, il  faudra bien y remédier un jour. En cette années 2020, c'était l'occasion puisque des aides massives sont proposées aux entreprises. En outre trop d'incertitudes pèsent sur la réforme de l'assurance chômage suspendue mais qui devrait être abandonnée.

Avec la bonne nouvelle du maintien du système de chômage partiel rémunéré il est évident que les gagnants seront ceux qui ont un emploi. Pour les autres, on aura du saupoudrage. Il eut fallu un chèque Covid alloué aux plus démunis pour faire en sorte que le plan de relance soit un plan pour tous. Au lieu de ça on a des promesses de négociations variées, qui laissent dans un manque de lisibilité complet.

 En outre le "Ségur" de la santé a laissé en l'état, une organisation du secteur qui fait toujours trop la part belle à la bureaucratie administrative, et non au médical. On n'est donc pas suffisamment prêts pour une éventuelle deuxième vague.

le plan de relance, s'il est acceptable dans nombre de ses mesures n'en reste pas moins incomplet. Son montant est faible et il n'est pas global, il n'est pas à la mesure de la crise sans précédents qui nous frappe.

Si la gauche a tort d'en faire une critique systématique, il n'en reste pas moins que ce plan de relance ne peut pas à lui seul, rétablir équité et confiance.

                                                                                                 Jean Claude Hiquet 20-09-2020

     Pouvoir d'Achat qui augmente: Mensonges, Com et enfumages. Cherchons l'erreur.

Dessin Permavenir

 

     Il parait que le pouvoir d'achat augmente. Ah!. Personne ne s'est rendu compte, enfin pour l'immense majorité des Français. Pourtant c'est largement répété par des communicants qui incarnent il parait le "Nouveau monde". Ils osent tout et donc aussi démontrer l'indémontrable. C'est de l'enfumage permanent.  Lire la suite ci-dessous

Pouvoir d'achat qui augmente..... Cherche ns l'erreur.
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Le débat national: Une chance, si jojo la carabistouille négocie du grain à moudre.
 

Le mouvement des gilets jaunes vient de nulle part, mais il signifie souffrance, désarroi, révolte, de celles et ceux qui depuis si longtemps font les bordures du progrès social.Depuis le 17-11-2018, samedis après samedis, les manifs succèdent aux manifs, prenant de court les partis politiques et les syndicats. A cette occasion les violences indignes qui se sont produites n'ont pas empêché la popularité de la contestation de se maintenir.

 

Le débat national proposé par Jojo la carabistouille est une réponse à ces actions après des mesures prises insuffisantes. Pourquoi Emmanuel Macron ne serait il pas appelé Jojo? Les mots ont un sens et des connotations. Jojo est l'égal d'Emmanuel ou de Edouard. Notre président devrait le savoir et éviter les tonalités méprisantes de certains premiers de cordée qui ne connotent que mépris et ne provoquent que méfiance ou même haine en retour.

Comment se fait il qu'un esprit si talentueux se laisse aller à des formules de café de commerce (ils ont leur charme) du style "Les Corses sont paresseux" ou les "Gascons sont menteurs"? Ce sont parfois les "Sachants" voulant faire "gens d'en bas" qui ainsi ne montrent que leur instinct de supériorité. Un président "ne devrait pas dire ça" mais plutôt faire revivre de vieux mots comme carabistouille qui dit bien ce que ne devra pas être le débat national....    Suite ci-dessous.

Le début at national: une chance si....
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Budget 2019. Bienvenue au club des premiers de cordée
 

Le budget 2019 est en parfaite cohérence avec celui de 2018. Bienvenue aux "premiers de cordée". Place nette pour les "méritants".

Déjà, la fiscalité 2018 avait largement amputé les prélèvements des plus aisés au motif qu'ils investissent et qu'ils viendront en nombre dans l'hexagone. Investissement? On repassera, mais il est vrai que la France, est davantage, terre d'aubaine pour les affaires. Pour autant, on ne voit rien venir dans la croissance qui reste une des dernières en Europe.

Le budget 2019 a confirmé cette priorité donnée aux premiers de cordée. Le plan "Pauvreté" attendra alors qu'il était déjà prévu en juillet,

En 2019 la priorité est donnée au travail d'aujourd'hui, de court terme. Les anciens travailleurs, c'est à dire les retraités, repasseront. L'indexation de leurs pensions à l'inflation? Surement pas.

Au delà de ces constats, que se passe-t-il dans la vie réelle?

 Les retraités qui avaient déjà assuré le train de vie de leurs enfants, poursuivent dans cette voie pour leurs petits enfants. Finalement, Macron en fait une règle générale et donc une opportunité, pour les finances publiques. Les générations d'avant, des "trente glorieuses" peuvent bien, être mises à contribution. Les retraités sont donc, encore, stigmatisés, et deviennent variable d'ajustement

Qu'en est-il du monde du travail?.Les inégalités s'y creusent. Le pouvoir d'achat des salariés devrait augmenter sauf que, avec les différentes hausses récentes, tout cela sera annulé pour les salaires les plus bas. Restent des gagnants, les premiers de cordée, dont des suppressions de cotisations sur le salaire brut a une valeur absolue significative. Ainsi selon les Echos"les salaires des cadres ont augmenté de 2,7 % au premier semestre 2018 par rapport à la même période de l'année précédente. et...il s'agit de la plus forte hausse depuis six ans." Et ce mouvement sera amplifié en 2019.La hausse sera bien plus forte pour ingénieurs, chefs de projets ou "premiers de cordée" pour simplifier. Ainsi, certains sont plus égaux que d'autres.

"En même temps", la précarité n'a jamais été aussi développée. En France, plus de 3 millions d’enfants, soit un sur cinq, vivent sous le seuil de pauvreté (UNICEF)

Un quinquennat à ce rythme là, et jamais en France, depuis 1945, les inégalités n'auront atteint un tel niveau. C'est de fait, une plongée dans une société de ségrégations.
                                                                                Jean Claude Hiquet  06-09-2018

Ministre de la transition écologique: Oser Royal

 

La démission publique, à laquelle on a été convié en direct, sur France inter, mardi dernier avait quelque chose de pathétique tant la tension était perceptible. 2 types de raisons ont été invoquées, La première concernait les dossiers qui n'avançaient pas d'un pouce. La seconde interrogeait le processus de décision dans les sphères du pouvoir. " Il y a un problème démocratique" affirme Hulot.

Autant dire que cet épisode n'affecte pas uniquement un ministre qui s'en va, mais concerne un vrai tournant, un vrai choix de société. On peut le résumer ainsi: Le virage post-productiviste peut il être pris ou pas?La transition écologique peut-elle être entreprise ou pas?

 

Le choix du futur ministre va nous éclairer sur les intentions réelles du Président: soit gérer au mieux, c'est à dire dans le sens des sondages, les enjeux environnementaux, soit engager des transformations réelles et permettre une évolution des mentalités.

Dans cette seconde hypothèse Il faut oser Royal.

Elle seule a la personnalité nécessaire pour résister aux lobbys et pour tracer son chemin dans les méandres des arbitrages à venir. 
Elle est mal vue, à droite et à gauche. La gauche classique, celle qui a gardé comme référence absolue les années Mitterrand, considère au mieux qu'elle est incapable de dépasser le niveau de réflexion d'un conseiller général.

Pourtant, elle est bien la seule qui a défendu la doctrine d'une écologie non punitiveet qui a démontré son intransigeance sur des sujets comme le glyphosate ou les boues rouges des Calanques. Elle seule maîtrise ces sujets avec les rapports de force qui les sous-tendent.

 

Oser Royal c'est impulser vraiment un projet de transition et donner face aux lobbys variés le signal que l'intérêt général l'emportera. C'est sans doute trop demander à un pouvoir qui ressemble à s'y méprendre aux plats cuisinés de l'ancien monde.

                                                                                            Jean Claude Hiquet 30-08-2018

Ce que l'affaire du manifestant roué de coup dit du "Nouveau monde"
 

On avait avec Hollande une bande d'amateurs irresponsables avec frondeurs et contre frondeurs comme à un congrès du PS permanent. Tous ont été remerciés avec largesses.

On a, avec Macron, une bande de pros virtuels, tellement naïfs.. qu'ils sont capables d'être infiltrés par des pros réels, véritables mercenaires de  la provocation.  Suite ci dessous

Affaires Benalla.
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Macron:Du Hollande radicalisé.Un président ne devrait pas...

 

Et oui nous en  sommes là après l'été: sur l'ISF ça bouge pas sinon, un pas en avant , un demi en arrière, un autre de côté pour un nouvel angle. Macron fait du hollande. Dans les mots choisis il y a une radicalisation évidente. la baisse des APL, c'est une "connerie" fait-il dire au "Canard"., et puis tous des "fainéants" pourquoi pas, s'il faut attirer du monde à la manif de la CGT.

Si on prend les principaux sujets de cette rentrée on est servi dans l'improvisation et le côté bulldozer des solutions. On ne fait pas dans "la dentelle" mais on rebrousse chemin dans les jours qui suivent et même Bayrou ne s'y retrouve plus.

 Il faut moins de 3% au premier janvier? on rabote toutes les dépenses d'autant. le chef des armées râle?...on lui demande qui est le chef, le tout a la télé...mais aussitôt après on rallonge le budget de la défense. Hollande avait ses pigeons qui pétitionnaient, c'était plus calme.

Sur les APL on a raboté mais on demande aux propriétaires de faire la charité aux locataires. On a, en effet, assisté, médusés à l'adresse d'un président aux propriétaires leur demandant de baisser leur loyer de 5€

Sur les retraites on fait moins 1,7% mais on tente une récupération fiscale pour une annonce de compensation.

 

Que dire des emplois aidés?. C'est une démarche identique et en plus on est en pleine idéologie. le présupposé idéologique c'est "les vrais emploi c'est pas l'Etat". Ceci est convenu donc on pourrait les supprimer. C'est un raccourci qui se heurte de plein fouet au réel. S'ils sont une forme de précarité ils correspondent à un vrai travail, à une utilité sociale dans l'Education, les collectivités, le secteur associatif. le principe de réalité rattrape Macron et ses têtes pensantes hors sol. Les emplois aidés ne peuvent pas être supprimés sauf à faire exploser l'existant.

En outre le Macron idéologue se heurte au Macron qui affirmait "la politique c'est dans le réel, à partir de lui". En réalité, il fallait programmer des dispositifs (comme l'apprentissage élargi) de remplacement, avant de les remettre en cause, et avancer de façon pragmatique

Donc on découvre "la pensée complexe" à l'épreuve du pouvoir. C'est un Hollande radicalisé qui nous gouverne. Le chemin parcouru en 4 mois, est surprenant. La route à venir, à ce rythme, sera pour le moins chaotique. Les mots choisis, en partant  des "illettrées", en passant par "les riens",  jusqu'aux "fainéants" interrogent vraiment. D'ailleurs Pivot twitte " les mots sont trop forts" et pour Michèle Delaunay "Un président ne devrait pas dire ça".

 

                                                                                Jean Claude Hiquet 12-09-2017

Saint Jean de Marsacq

BAYONNE

Musée Basque Histoire de Bayonne

DIDAM

Mairies du Seignanx et Bassin de vie

RECLAMES

Ces mots de Voltaire sont éclairants. Il livre une définition du fanatisme
Laicité. Voltaire.BN PS.pdf
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